Friday 28 November 2008

LE POTENTIEL EXPLIQUE POURQUOI KINSHASA A PEUR DE LA MEDIATION D'OBASANJO

La vérité n'intimide que les coupables. Mais vous remarquerez un brin d'objectivité dans cet article, pas très souvent de voir cela dans le journal de Jaynet Kabila, tout un luxe!
Et le Phare semble avaler tranquillement les couleuvres de quelques ministres réagissant aux rapport accablant le gouvernement de la par de HRW!
And this is how the "faithful to itself" Reuters describes the panorama as Obasanjo returns to DRC:
Got to run, will keep paging tomorrow!

1 comment:

Anonymous said...

Obasanjo n'est pas sans danger pour le Congo car il est l'envoyé de l'ONU, en fait de Ban Ki-Moon qui est lui-même à la solde des Européens et de la Franco-belge Union en particulier.
Son rôle est quelque peu abject par certains à-côtés d'hypocrisie et de leurre; donc, sans véritable objet. Il sert à gagner du temps.

Si on on regarde le profile d'Obasanjo, on remarque des signes évidents d'un militaire qui s'est hissé au pouvoir par la force et d'un homme sans beaucoup de scrupule au bas mot. Mais c'est normal après tout si on suit le parcours d'Obasanjo dans la politique nigériane, un milieu de tous les dangers, s'il en est.

A priori, He is not relible enough. He is not the right in-between man for that case and for Africa interest. C'est un mercenaire pur et dur derrière ses lunettes d'intellectuel. Mais, on peut se tromper et croire à une sorte de résurrection (a born-again) d'un homme qui serait devenu libre étant hors des contraintes des milieux politiques nigérians ...
Pourtant son historique politique est assez explicite:
dans http://en.wikipedia.org/wiki/Olusegun_Obasanjo, on lit:
Obasanjo was also responsible for enormous political repression. In one particular instance, the compound of Nigerian musician and political activist Fela Kuti was raided and burned to the ground after a member of his commune got in an altercation with military personnel. Fela and his family was beaten and raped, and his mother, political activist Funmilayo Ransome Kuti was killed by being thrown from a window. Her coffin was carried to the barracks of Olusegun Obasanjo, to expose political repression.
Vaut-il mieux que Kabila? Peut-être mais c'est à vérifier car il vaut mieux ne pas se fier ni se confier à cette personne vue ses antécédents peu reluisants:
http://query.nytimes.com/gst/fullpage.html?res=9904EFDA1238F93BA3575BC0A9619C8B63
http://query.nytimes.com/gst/fullpage.html?res=9F06E0D61639F936A35753C1A9619C8B63
etc ...

D'autres part, Kabila et son gouvernement, sous l'impulsion de leurs mentors, dont l'ONU, ont dénoncé l'acceptation du parlement congolais, ayant pourtant le droit d'avoir une opinion de démocrate, pour des pourparlers directs avec Nkunda. Aussi, les tentatives actuelles d'Obasanjo sont inutiles, hors contexte car sans, ni objet (je me répète) ni base commune.
Il est enfin étonnant de voir que le HRW ait bien remonté le temps pour nous narrer les crimes de Kabila et de son gouvernement, il y a deux ans, tout en omettant délibérément les crimes actuels opérés au grand jour par ces mêmes auteurs. Ceci est bien établi malgré l'occultation des médias spécialistes des clairs-obscurs de l'événement.
Time is running out! La population congolaise a trop fait confiance à la communauté internationale et à son gouvernement de misère. Elle souffre sans savoir pourquoi car on peut difficilement comprendre pourquoi les guerres et les massacres du Kivu puissent avoir un effet aussi grave sur leur vie de tous les jours, à 1500 km de chez lui.
Devrait-on dire ou croire que sans le Kivu et son économie, le reste du Congo ne pourrait survivre ni e développer.
Bagambiki.