Wednesday 21 January 2009

NEWS ON JOINT OPERATIONS IN EASTERN DRC

Reuters journalist reporting from Kabati:

Le Potentiel croit que Kinshasa est piégé, mais ce n'est pas cela l'opinion de Lambert Mende comme on le voyait hier. Attendons voir, les choses vont vite:

Un congolais essaie de comprendre le porte-parole du gouvernement sur le sujet:

Un peu plus de détails de la part de Marie France Cros:

From Reuters blogs:

La version d'IRIN News:

1 comment:

Anonymous said...

A l'est rien de nouveau.
Ceci est le titre d'un livre d'un auteur allemand et soldat de la Werhmacht sur les champs de bataille de l'est durant la WW2.

Que ce soit reuters, le potentiel, Congo indépendant ou la Libre Belgique et bien d'autres, rien n'a changé dans leur vision générale et leurs déviations respectives.
Comme des somnambules, leurs journalistes se bornent à emprunter les mêmes couloirs sans chercher

Le comble, ils oublient l'essentiel, le problème principal et commun au Congo, au Rwanda et au Burundi sans oublier les autres pays limitrophes et lointains à la région des grands lacs.

Autant les journalistes que les lecteurs distraits, il ne font même mention des pays d'occupation et de colonisation qui ont monté les problèmes que connait la région.
Cela ne veut pas dire qu'il n'y eut pas et n'y aurait pas eu d'autres problèmes entre ces pays, mais pas ceux-là et avec cette acuité.

Bref, qui sont réellement ces FDLR qui défraient l'actualité et qui ont généré plusieurs conflits entre le Congo et le Rwanda?
Car, reconnaissons qu'avant octobre 1990 et surtout leur entrée au Congo, une bonne entente, une réelle convivialité existaient entre ces deux pays, Congo et Rwanda, et leurs habitants.

Rappelons aussi que les Hutu et les Tutsi ont toujours vécu ensemble depuis qu'ils existent sur terre et formaient les mêmes nations.

Il a fallut que les Européens arrivent pour semer la zizanie en vue de déstructurer ces nations.
Pire, il a fallut la 1ère Guerre mondiale pour voir la Force publique aller guerroyer à l'est contre les Allemands et leurs alliés Rwandais et Burundais.

Plus tard, en 1959-60, il faudra encore cette FP pour mater brutalement les autorités traditionnelles du Rwanda avant l'intervention bestiale des Paras Belges sous un colonel au nom de Logiest.

C'est encore la Garde présidentielle de Mobutu et les commandos de Mahele qui ont envahi le Rwanda en octobre 1990 pour aider le président du moment, Habyarimana, et sur ordre des franco-belges. Même si ce fut une aventure courte, elle inaugura les débuts des malheurs des Rwandais et des Congolais.

La fuite des génocidaires et de deux millions de civils au Zaïre-Congo sous la houlette de la France et ses alliés de l'axes du mal, commença l'ère des malheurs du Kivu exclusivement. Car, le reste du Zaïre vivait tranquille.

Personne parmi les journalistes et les historiens ne semble être au courant de l'œuvre de la France dans l'agencement de ces actes hautement criminels sous le couvert de l'humanitaire et leur Zone Turquoise au Rwanda.
Le lien suivant pourra encore instruire le chercheur sur les méthodes françaises de la guerre en Afrique et contre l'Afrique:
http://billetsdafrique.survie.org/Lire-Une-guerre-noire-Enquete-sur.html

L'implication de l'Opus Dei, le comble, est un fait sûr pour tous ces événements en tant que commanditaire.
Pourtant, certains Congolais, de bonne foi, en veulent aux Rwandais pour ces guerres alors qu'ils en sont tous les deux victimes et devraient être solidaires et collaborer pour s'en sortir.

Enfin, le FDLR est une création de la France et de l'UE en général. Cette organisation a des appuis dans toutes les paroisses de l'Union Européenne et Suisse comprise. Aussi, il ne faut croire que le défaire est une mince affaire.
Une des voies pour le réduire serait de le mettre en quarantaine sans se battre et de l'isoler avec l'appui, cette fois-ci réelle, des Congolais.
On ne peut que regretter que ces hommes et femmes sont des Africains qui ont décidé de retourner leurs armes contre leurs compatriotes et frères-sœurs Rwandais et Congolais au lieu de voir l'avenir par la construction de leur pays et de l'Afrique.

Bagambiki