Il y a à peine une semaine Kabila promettait 20.000.000 $ en début de l'année 2010 pour renflouer la trésorerie de la MIBA, selon les sources aussi informées que Africa Intelligence Mining. C'est facile pour Kabila de parler en millions de dolars après que la bruoilee avec le FMI ait pris des couleurs plus notables. Mais c'est toujours de l'accumulations de dettes que les générations futures doivent payer. Mais quelles générations si le pays continue d'être liquefier comme nous le voyons? Je ne vais pas parler de DONGO et d'où cette nouvelle crise arrive. Je veux parler des nouvelles qui se prêtent à confusion comme ce que dit RFI à propos des rebelles intégrés qui désertent les FARDC.
Je vous l'ai dit ici déjà il y a quelques jours. Ceux qui ont rejoint taganda au moment de son putsch se sont rendus compte que son accord avec Kinshasa était un feu follet qui s'est éteint avant d'être allumé. Ils rejoignent les officiers fidèles à l'idéal pour lequel ils ont pris les armes pour aller au maquis il y a 5 ans. Ils sont impatients de la libération de leur vrai leader. Mais ceux qui n'ont pas encore deserté Ntaganda sont en débandade. La nouveauté c'est que le Rwanda, au lieu de libérer laurent Nkunda, continue de vouloir changer de tête politique à l'amorphe putsch créé en janvier 2009. Munyampenda s'en est allé, Kamanzi aussi. Le Rwanda veut essayer un certain Gafisi (ou Gafarasi, je ne suis pas sûre du nom)Philip, ancien directeur des Statistiques au ministère des finances au Rwanda. Il leur sera présenté en fin de semaine, il parait.
Ce gentleman devrait s'attendre à une bonne résistance car personne d'autre à part Bosco peut etre, n'est prêt à l'accepter. Kigali ne peut il pas comprendre que cela ne marche pas? Ces gens là ne sont peut être pas aussi bête que le croit le chef de l'armée rwandaise! En tout cas Bosco sait déjà que les hommes qui lui restent ne veulent plus entendre de chef qui leur soit imposé du Rwanda. Les hutus sous ses ordres le menacent de quitter son semblant de mouvement s'il ne libère pas Mr. Gacaba. Et la sarabande continue. Quand les gens me parle du pragmatisme des dirigeants rwandais je leur dit que cela n'existe pas, du moins pas à partir d'un observatoire attentif!
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