Il y a quelques semaines vous avez entendu que quelques sénateurs américains jetaient leur poids derrière la pression que les FDLR exercent sur le Rwanda pour leur hypothétique dialogue. La succession des déclarations et cette toute dernière interview de l'ambassadeur américain confirment ma supposition. Souvenez-vous que c'est Suzan Rice qui est à l'ONU. Le rapport dont je parlaits hier aurait peut-être quelque chose à voir avec elle. A défaut d'avoir empêché le génocide rwandais et celui des tutsi congolais, les USA voudraient déterrer l'implication de Joseph Kabila dans les tueries entre 1998 et 2003. Est-ce que l'administration Obama veut faire oublier que c'est une admnistration démocrate, concrètement celle de Clinton qui a été impliquée dans la création du chaos qui a destabilisé les Grands Lacs pour 15 ans? Toute la manoeuvre montre, dans tous les cas, que les FDLR voudraient se passer de Kabila pour leur démarche. Il est donc temps qu'il prenne une stratégie conséquente.
Et voici les conseils du patron de la Banque Mondiale pour l'Afrique:Good governance contre l'argent comptant, ou la compétition entre un slogan des occidentaux et les sommes sonnantes et trébuchantes des chinois, qui va gagner la course à la nouvelle partition de l'Afrique? Ce qui me surprend c'est l'absence des Européens dans cette danse. Ils sont bien sûr en train de douter et d'attendre pour se ranger du coté du champion de ce match. Ils sont toujours avec le plus fort.
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